Dans Tunic nous incarnons un petit renard vêtu d’une tunique verte, qui se réveille sur une plage. Ça ne vous rappelle rien ? The Legend of Zelda – Link’s Awakening débute de la même manière...

Voilà qui promet de belles heures d'aventures dans des décors lumineux et tout aussi mignons que le personnage. Mais méfiez-vous des apparences, car malgré son esthétique rassurante, le monde de Tunic s'avère vite labyrinthique et peuplé de monstres. Plus on avance dans l'aventure, plus les endroits que l’on découvre deviennent sombres.

Pour couronner le tout, les panneaux indicatifs sur notre chemin sont tous, ou presque, écrits dans une langue totalement inconnue… Jusqu'à ce que l'on trouve les premières pages d'un livret d'instructions, lui aussi écrit dans cette même langue.

En s'aidant des quelques mots-clefs disséminés dans le livret et de ses illustrations, le joueur va apprendre petit à petit à défricher cette langue inconnue. Et plus il trouvera de pages, mieux il saura où se diriger et quoi faire. Sans ce livret, impossible donc de percer les nombreux secrets dissimulés dans cette pépite du jeu vidéo.

Les joueurs de Tunic l'ont compris : pour résoudre les plus grandes énigmes, il suffit parfois d’ouvrir les yeux, car les solutions sont juste là, devant nous…

Nous ne vous en dirons pas davantage sur Tunic, mais si vous voulez en savoir plus, n’hésitez pas à nous rejoindre le mercredi 13 mars à 15h afin de le découvrir, l’admirer et le tester.